Le premier roman publié de ALIOUM FANTOURE, agé alors de 33 ans , est sorti en 1972, chez PRESENCE AFRICAINE, la maison d’édition de ALIOUNE DIOP, qui a sorti d’autres écrivains en cette période importante comme :….
Le roman a eu l’année suivante en 1973 le PRIX de littérature de l ‘Afrique Noire
et a été traduit en plusieurs langues. La traduction en anglais a été faite par DOROTHY S.BLAIR , paru chez LONGMAN en 1981, dont nous citons quelques paragraphes ici.
D autres traductions en portugais ( o circulo dos tropicos ) , hollandais, ( Tussen de Kerkringen ) finlandais, etc,,, existent.
Ce livre a fait l’objet de maintes essais publiés ( voir la bibliographie jointe ) et de dissertations. Il est étudié dans les lycées et les universités en Afrique francophone et ailleurs.
Mot de l’éditeur :
Ici, sur le continent africain, au moment historique où se font les « indépendances », un homme simple, un peuple et un Etat font l’apprentissage de leur libération.
L’auteur en montre surtout la face nocturne ,amère et violente.
Alioum Fantouré sait que la misère de l’homme et que le pouvoir rend fou, et c’est sans indulgence qu’il dévoile les ravages de cette aveugle puissance.
Très fortement pèsent sur ce livre comme l’irrationalité du destin et la fermeture d’un cercle infernal, à quoi toutefois s’oppose une poignée d’hommes et de femmes ,amis de la liberté, militants de l’espoir et de la raison dans un monde absurde que la tyrannie a instauré.
Merci encore 50 ans apres!